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l effondrement scientifique de la theorie de l evolution
22 février 2011

Les darwinistes : Nous demandons pardon encore une fois, nous nous sommes trompés aussi à propos d'Ardi.

Les darwinistes ont dû s’excuser auprès des gens pour les 150 dernières années. Ils ont dit “pardon pour notre erreur, c’était faux”, "c’était en fait une dent de porc, pas celle d’un homme”, ils ont dit “désolés, les phalènes étaient collées délibérément aux troncs d’arbres”, “le crâne avait été raboté”, “les poils avaient été collés manuellement au dinosaure”, “il apparaît que ce fossile est encore vivant et il n’est pas une forme intermédiaire”, “l’atmosphère primordiale n’était pas comme nous l’avons décrite”. Ils ont dit “en fait, les embryons n’étaient pas du tout comme ça, les illustrations sont fausses”. Ils ont dit “nous avions affirmé qu’il était l’ancêtre de l’homme, mais il apparaît qu’il n’est qu’un singe ordinaire”. Ils ont demandé pardon continuellement et ont rétracté leurs assertions. Ils ont retiré hâtivement les fossiles des musées. Alors qu’ils avaient présenté un fossile comme un “fossile intermédiaire” dans un numéro de leurs revues, ils ont publié aussitôt des excuses dans le numéro suivant. Et cela a continué ainsi jusqu’à nos jours.
 
La raison de cela est celle-ci : LE DARWINISME N’EST QU’UNE IDEOLOGIE HERETIQUE, SANS LIEN AVEC LA SCIENCE. IL N’EST MEME PAS VALIDE PAR UNE SEULE PREUVE SCIENTIFIQUE. C’est la raison pour laquelle les darwinistes fabriquent de fausses preuves. Mais leurs impostures sont bien entendu éphémères. 
 
Quand leurs falsifications ont été démasquées, les darwinistes ont dû apparaître au public et demander pardon. L'Homme de Piltdown, l'Homme de Nebraska, le cas des phalènes pendant la révolution industrielle, les dessins d’embryon humain d’Haeckel, le cœlacanthe, Lucy, l'Archaeoraptor, la soi-disante évolution de la série du cheval, les crânes qu’ils ont essayés de dépeindre comme une preuve pour le mythe de “l’évolution humaine”, l’Archæoptéryx et, plus récemment, Ida furent les pires exemples de ces falsification inédites. Ida qui fut le sujet d’un spectacle dans le monde entier, fut le dernier exemple de cela. Ce fossile qui fut décrit comme étant le soi-disant "ancêtre de l'homme" et à propos duquel des documentaires furent préparés, des conférences de presses furent organisées, et qui fut présenté comme étant “la plus grande preuve de la soi-disante évolution” sur l’une des plus célèbres chaînes de télévisions, fut annoncé comme un fossile d’une espèce éteinte de lémurien. A la suite de cette grande piaillerie, ils ont dû encore demander pardon comme toujours. 

ARDI FUT RECEMMENT UN NOUVEAU ELEMENT DE CE SCANDALE. Les darwinistes ont pris un fossile de singe ordinaire et ils ont reconstruit l'os pelvien, complètement fractionné et dont les morceaux millimétriques continuent à s’effriter, de telle manière à lui permettre de “marcher debout”. L’une des principales raisons du choix de ce fossile comme le plus grand candidat pour l’évolution imaginaire de l’homme, est le fait que l’os pelvien puisse être reconstruit par les scientifiques darwinistes “de la façon qu’ils veulent”. Les darwinistes ont fait ce qu’il fallait faire au nom du darwinisme et Ardi fut décrit comme un “singe marchant debout”. Ils n’ont pas hésité à le présenter comme la plus grande preuve de la soi-disant évolution humaine. Mais comme toutes les autres, cette imposture fut aussi de courte durée, et la falsification darwiniste a été reconnue directement par les scientifiques darwinistes.
 
 Maintenant le temps est venu POUR EUX DE DEMANDER PARDON A PROPOS D’ARDI.

Le darwiniste William Jungers, le chef du département des sciences anatomiques au Centre Médical à l’Université de Stony Brook, Long Island, fait ce commentaire à propos des assertions prétendant qu’Ardi représente “l’ancêtre de l’homme” : 

Je pense que certaines choses dites à propos d’Ardi peuvent avoir été déclarées seulement pour susciter de l’effet.[1]

Le darwiniste Tim White de l’Université de Californie et son équipe qui ont examiné Ardi et prétendu qu’Ardi était le chaînon manquant dans l’évolution imaginaire de l’homme, ont dû faire cet aveu : 
 
Il n’y a, apparemment, aucune caractéristique qui nous permet à conclure que Ar. ramidus [Ardi] est l’ancêtre de l’Australopithèque.[2]

Le fait que l’os pelvien qui est abimé ainsi que ses alentours soient reconstruits complètement à la lumière des interprétations des scientifiques darwinistes, a été, également, reconnu explicitement par d’autres scientifiques darwinistes. Jungers a déclaré ce qui suit sur le sujet :

Peut-être que les morceaux furent réunifiés minutieusement, mais en réalité ils ont démarré avec un spécimen très abîmé, et ils ont terminé avec quelque chose de très similaire à un Australopithecine [un groupe imaginaire semblable à l’être humain y compris Lucy]. Il est très difficile de ne pas les faire ressembler à quelque chose que vous avez en tête s’il y a une quelconque possibilité de jouer là-dessus.
... Ardi requiert beaucoup de suppositions. [3]

Après avoir examiné les vestiges du fossile, Jungers déclara, “il n’est pas possible que l’animal en question marche constamment sur ses pattes de derrière, à moins que les données soient ignorées délibérément ou qu’elles soient complètement inventées”. [4] Avec cette déclaration il fut révélé que Tim White et son équipe avaient commis une autre supercherie au nom du darwinisme.

Ce ne sont pas seulement les découvertes concernant l’os pelvien qui réfutent les assertions à propos d’Ardi. Dans un article publié dans le magazine Science, il fut déclaré que l’anatomie des pattes de derrière d’Ardi montrait que c’était un animal grimpant. Un article intitulé “How Humanlike Was Ardi ?” (“Combien Ardi ressemblait-il à l’homme?) , Katherine Harmon du magazine Scientific American a déclaré que même pas une seule pièce dans la patte de l’animal ne montrait qu’il se tenait debout. Les pattes, et surtout les pouces, exposent des particularités présentes encore chez les chimpanzés d’aujourd’hui qui servent à grimper. Jungers résume la situation ainsi :

[Ardi] n’expose aucunement une adaptation à la bipédie.[5]
 
Les darwinistes qui ne détiennent pas une seule preuve pour confirmer leurs assertions, recourent à l’affirmation suivante afin de pouvoir présenter cette forme de vie comme étant soi-disant "l'ancêtre de l'homme" : “Les femelles étaient petites parce qu’elles restaient inactives pendant que les mâles allaient à la chasse”. Cette assertion pitoyable est en fait la preuve de la situation désespérée dans laquelle se trouvent les darwinistes. Parce qu’ils n’ont aucune preuve, ils n’hésitent pas à recourir à la démagogie. Il est honteux pour un scientifique de faire une telle assertion et d’affirmer, se basant sur cela, qu’un singe bonobo en parfaite forme est en fait l’ancêtre de l’homme. Mais bien que les darwinistes se mettent dans une situation embarrassante, ils sont obligés de répéter ces déclarations misérables pour l'intérêt de l’idéologie darwiniste égarée. 
 
Il est même inutile de prendre au sérieux une telle assertion et d’y répondre. Mais pour montrer la situation pitoyable de ceux qui soutiennent cette assertion, il sera utile de préciser ceci : les êtres humains ne sont pas les seuls êtres vivants à avoir une vie familiale qui inclut une division du travail. De nombreux êtres vivants dans la nature vivent en familles ; les mâles et les femelles ont tous les leurs propres tâches dans la famille. Dans la plupart d’entre elles, ce sont les mâles qui chassent, tandis que les femelles s’occupent des petits. Par conséquent, le fait que la femelle d’une forme de vie particulière ne chasse pas, mais qu’elle prenne soin de ses petits, ne  fait pas d’elle, bien sûr, un être humain.  


Conclusion : 


La dictature darwiniste se trouve aujourd’hui dans un état de désespoir. Ils ne savent plus quoi faire pour ressusciter le défunt Darwin et ses idées. Ils essayent désespérément et dans la panique de récupérer leur position. Pour cela, ils ont pris le risque d’avancer des assertions absurdes et de s’exposer ainsi à la honte. C’est la façon dont le darwinisme se retrouve effondré et défait au 21ème siècle. Ardi a produit ce choc, et cette défaite évidente est claire comme de l'eau de roche. Les darwinistes ont dû retirer leurs assertions concernant Ardi, et ont réalisé qu’ils ne pourraient plus duper les gens comme ils le faisaient dans le passé. Les faux fossiles qui furent exposés dans des musées pendant 40 ans, sont maintenant démasqués sans délai et apparaissent rapidement sous leur vrai visage et leurs falsifications sont maintenant éphémères et ne durent seulement que quelques jours, ou même quelques heures. Les efforts des darwinistes pour ressusciter l’évolution avec de faux fossiles sont tous déployés en vain. Les darwinistes eux-mêmes peuvent voir et reconnaître ce fait. 
 


[1] Katherine Harmon, How Humanlike Was "Ardi"?, Scientific American, 19 novembre 2009, http://www.scientificamerican.com/article.cfm?id=how-humanlike-was-ardi 
[2] Katherine Harmon, How Humanlike Was "Ardi"?, Scientific American, 19 novembre 2009, http://www.scientificamerican.com/article.cfm?id=how-humanlike-was-ardi 
[3] Katherine Harmon, How Humanlike Was "Ardi"?, Scientific American, 19 novembre 2009, http://www.scientificamerican.com/article.cfm?id=how-humanlike-was-ardi 
[4] Katherine Harmon, How Humanlike Was "Ardi"?, Scientific American, 19 novembre 2009, http://www.scientificamerican.com/article.cfm?id=how-humanlike-was-ardi 
[5] Katherine Harmon, How Humanlike Was "Ardi"?, Scientific American, 19 novembre 2009, http://www.scientificamerican.com/article.cfm?id=how-humanlike-was-ardi

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