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l effondrement scientifique de la theorie de l evolution
24 février 2011

Les origines de la religion superstitieuse du darwinisme

Dans son livre, Ancient Views on the Origin of Life, Ernest Abel dit que les philosophes grecs milésiens avant Socrate tiraient leur concept de l’évolution dans le contexte de la création de l’univers des dirigeants des plus anciennes religions égyptienne, babylonienne ou sumérienne. Pour cette raison, ajouta-t-il, L’EVOLUTION N’EST EN AUCUN CAS UNE DECOUVERTE MODERNE, mais plutôt une forme moderne d’une religion mondaine (superstitieuse) qui a renié la croyance en Allah avant l’aube de l’histoire. Et de continuer :

« Bien qu’il soit habituel d’attribuer le début de cette théorie à Charles Darwin et ses prédécesseurs immédiats, une forme rudimentaire de cette notion peut remonter jusqu’aux commencements de l’histoire écrite elle-même. » i

Ce document dévoile les croyances superstitieuses des religions païennes desquelles provient le darwinisme. Allah est sûrement au-delà de toutes les croyances décrites et tous les termes employés dans les citations.

Le darwinisme n’a pas commencé avec la théorie établie par les observations et investigations amateurs de Charles Darwin et d’autres scientifiques du 19èmesiècle. Ses origines remontent à des philosophies matérialistes beaucoup plus anciennes. Les croyances darwinistes ont d’abord été affichées il y a quelques milliers d’années dans les religions polythéistes et matérialistes de la Grèce et de Sumer. On peut également trouver les croyances fondamentales de la théorie de l’évolution dans différentes mythologies superstitieuses (hindoue, jaïne, inca, etc.). Par exemple, on retrouve également dans la théorie de l’évolution les croyances basées sur des mythologies non scientifiques et fictives dépourvues de bases scientifiques. Ce qui inclut les idées que toute vie aurait émergé spontanément de l’eau comme résultat supposé du pur hasard, que les plantes, les animaux et les êtres humains partageraient tous un ancêtre commun, que l’être humain descendrait prétendument de poisson, et que toutes les formes de vie seraient apparues de façon graduelle, pendant une très longue période, et presque par hasard. Charles Darwin n’était donc pas à l’origine de la théorie de l’évolution. Il a été celui qui a dressé à nouveau au 19ème siècle toutes les croyances superstitieuses et païennes qui existaient depuis des centaines d’années et ce, sous le nom de la théorie de l’évolution.

Le darwinisme et les croyances sumériennes superstitieuses

Les inscriptions païennes de Sumer, qui renient Allah (Il est au-delà de cela) et affirment que les créatures vivantes sont apparues par un processus évolutif, forment l’axe de la religion du darwinisme.ii Lorsque les inscriptions sumériennes furent examinées, elles révélèrent une légende disant qu'il y avait d’abord un chaos gorgé d’eau d’où émergèrent deux dieux imaginaires : Lahmu et Lahamu.iii Selon cette croyance, les deux faux dieux se sont d’abord créés eux-mêmes, puis, ils ont évolué et ainsi créé d’autres matériels ainsi que les êtres vivants. Autrement dit, la vie est apparue subitement à partir du chaos sans vie et humide. La croyance des évolutionnistes que les êtres vivants se sont d’abord formés de matières sans vie partage également avec la croyance sumérienne le fait que l’univers s’est développé à travers un processus évolutif.  

 

 

Depuis les ères les plus reculées, il y a eu des peuples païens. Dans chaque ère, les êtres humains se sont fait des idoles. De la même manière que les darwinistes acceptent le hasard et la matière sans vie comme les idoles pourvus d’un pouvoir créatif, dans les premières sociétés avec une croyance malencontreuse, des choses similaires étaient vénérées comme des idoles. Ci-dessus, à gauche : une plaque sumérienne décrivant les étapes, selon leur croyance superstitieuse, à la création des êtres humains sur l’ordre du faux dieu de l’eau. Au milieu : Des représentations des faux dieux sumériens de l’eau. A droite : Hammourabi priant devant le faux dieu mésopotamien du soleil.

L’étude des inscriptions d’Enuma Elishiv, dont un fragment fut découvert en 1849 et qui décrit le mythe de la façon avec laquelle Babylone fut créée, révèle différents détails de la croyance superstitieuse. Nous rencontrons dans ces inscriptions la croyance hérétique que la vie commença avec le dieu prétendu de l’eau fraîche Apsu et le dieu prétendu de l’eau salée Tiamat (Allah est au-delà de cela)v. Les inscriptions contiennent le récit suivant : « La mer primitive (Abzu) existait avant toute autre chose et à l’intérieur, le ciel (an) et la terre (ki) se sont formés. » vi

Un autre mythe païen dans les textes sumériens concerne la création de la race humaine. Ces textes décrivent comment un dieu supposé appelé Prince Ea avait la tâche de former une nouvelle race humaine (Allah est au-delà de cela). Les textes sumériens parlent d’un processus dans lequel Ea a changé les gènes d’un homme-singe ou d’une femme-singe. En conséquence de leurs croyances païennes, ils considérèrent ceci comme une espèce totalement séparée n’ayant rien à voir avec les êtres humains. vii

Le darwinisme et les croyances égyptiennes superstitieuses

Une étude de l’histoire de l’Egypte révèle les mêmes croyances superstitieuses. Dans l’un de ces récits ridicules privés de toute base scientifique, on nous dit que « les serpents, les grenouilles, les vers et les souris ont émergé de la vase du Nil lorsqu’il sortit de son lit ». viii

Les croyances superstitieuses égyptiennes parlent d’un soi-disant chaos aqueuxix et de toute vie émergeant spontanément de ce dernier :

« Au début il y avait seulement l’eau, un chaos d’eau bouillonnante et écumeuse. Les Egyptiens appelaient cela Nu ou Nun. Tout a commencé en sortant de Nu. Ra sortit d’un chaos primitif, et d’une fleur de lotus bleu géante qui est apparue sur la surface de l’eau. » x

• Dans l’Egypte ancienne on croyait que sous les conditions du monde primitif, le faux dieu appelé Ra émergea d’un lotus bleu en conséquence des interactions entre les forces de l’eau, de l’air, de l’obscurité et de l’infini. » xi
• Les Egyptiens croyaient que l’univers était initialement rempli des eaux sombres du chaos. Le premier [faux] dieu, Ra-Atum, s’éleva et émergea des eaux du Nil qui sortit de son lit et inonda les terres de l’Egypte chaque année. »xii  
• C’était sans surprise que l’eau soit un élément fondamental dans les mythes égyptiens de la création. Parce que le Nil avait une importance vitale pour les Egyptiens. Selon les mythes égyptiens, il y avait « un chaos d’eau bouillonnante et écumeuse. Les Egyptiens appelaient cela Nu ou Nun. Tout commença à partir de Nu. Le Nil avec ses inondations annuelles jouait un rôle critique dans cet ordre cosmique. » xiii

Certaines mythologies égyptiennes parlent d’une île originelle connue en tant que « l’île de la création » :

« Toutes les mythologies ont au cœur de leur histoire une terre originelle connue par ‘l’île de la création’. Le mythe hermopolitain a été développé à Hermopolis. Ici le [faux] dieu de la sagesse, Thot, était le joueur principal. Il y a plusieurs versions de ce mythe. Un récit a un groupe de huit [faux] dieux jouant tous des rôles majeurs dans la création à partir d’un océan originel. » xiv

Il est erroné de penser que ce concept a disparu maintenant et péri avec les anciennes civilisations. Aujourd’hui, les évolutionnistes maintiennent la même idée ; ils voudraient faire croire au monde scientifique qu’au début il y avait l’eau, le chaos gorgé d’eau, ou comme ils l’appellent « la soupe primitive ». Selon la théorie de l’évolution, il y a 4 milliards d’années, quelques éléments chimiques inanimés dans l’atmosphère terrestre primaire nécessaires pour le développement de la vie, comme le carbone et le phosphore, par une opération de facteurs hasardeux, se sont assemblés dans l’eau sous les bonnes conditions et les bonnes proportions. En même temps, il y a eu des tempêtes d’éclairs et des secousses, et les premiers composants de la vie, les aminoacides, sont apparus. Par la même opération, ces aminoacides sont devenus des protéines qui ont formé des cellules, et à travers la continuité de cette chaîne d’événements hasardeux, les êtres humains sont finalement apparus.

Toutefois, affirmer que la matière sans vie peut fusionner pour former la vie n’a été vérifié dans aucune observation ou expérience ; c’est une affirmation extra-scientifique. Un bref exemple suffit pour démontrer son illogisme : laissons les darwinistes mettre beaucoup de matériaux présents dans la composition des êtres vivants comme le phosphore, le nitrogène, le carbone, l’oxygène, le fer et le magnésium dans de grands tonneaux. De plus, laissons-les y ajouter tout matériel qui n’existe pas sous des conditions normales, mais qu’ils croient aussi nécessaire. Laissons-les ajouter à ce mélange autant d’aminoacides – qui n’ont pas la possibilité de se former sous des conditions naturelles – et autant de protéines qu’ils veulent – une seule protéine ayant une probabilité de formation de 10-950. Laissons-les exposer ces mélanges à autant de chaleur et d’humidité qu’ils désirent et les remuer avec n’importe quel instrument technologique développé. Laissons-les placer les scientifiques les plus importants à côté de ces tonneaux. Et laissons ces experts attendre à côté de ces tonneaux pendant des millions et même des milliards d’années. Laissons-les libres d’utiliser toutes sortes de conditions qu’ils croient nécessaires à la formation d’un être vivant. Quoi qu’ils fassent, ils ne peuvent pas produire de ces tonneaux un être vivant, dit un professeur qui examine sa structure de cellule sous le microscope électronique. Ils ne peuvent pas produire des girafes, des lions, des abeilles, des canaris, des chevaux, des dauphins, des roses, des orchidées, des lilas, des lys, des bananes, des oranges, des pommes, des dates, des tomates, des melons, des pastèques, des figues, des olives, des raisins, des pêches, des faisans, des papillons multicolores, ni des millions d’autres êtres vivants comme ceux-là. En effet, ils ne pourraient pas obtenir une seule cellule d’entre elles. Bref, des atomes inconscients ne peuvent pas former la cellule en s’assemblant. Ils ne peuvent pas prendre une nouvelle décision et diviser cette cellule en deux, puis prendre une autre décision pour former les professeurs qui ont inventé en premier le microscope électronique, puis ont examiné leur propre structure de cellule sous ce microscope. La matière vient à la vie avec seulement la création supérieure d’Allah.

Chaque cellule vivante est formée par la reproduction d’une autre cellule. Personne dans le monde n’a jamais réussi à former une cellule vivante en assemblant des matières inanimées, même pas dans les laboratoires les plus développés.

Certaines inscriptions montrant ces croyances hérétiques



L’erreur que la vie émergea par hasard de l’eau
 
Ea se trouve dans sa maison d’eau, l’Apsu.



Le mensonge du passage de l’eau à la terre
 
Représentation du passage de la [fausse] divinité Enki de l’eau à la terre ferme



L’origine païenne de l’arbre de la vie évolutionnaire
 
Une tablette sumérienne décrivant les étapes, selon leur croyance superstitieuse, dans la création des êtres humains sous l’ordre du faux dieu de l’eau

Le darwinisme et l’hindouisme

L’hindouisme, qui a eu beaucoup d’adhérents au sud de l’Asie avec ses rituels complexes et ses doctrines païennes, se base également sur la croyance que tous les êtres vivants ont émergé des océans. Cette croyance est exposée en détail dans les inscriptions du Rig Veda et d’Atharva Veda qui illustrent les doctrines hindoues avec des histoires de personnages légendaires. L’hindouisme rejette l’idée d’un Créateur ; selon sa philosophie, l’univers tout entier a évolué d’une énorme boule ou masse de substance matérielle, « prakriti ». Toute chose, animée et inanimée, évolua de cette substance primordiale. A la fin de chaque période cosmique, elles se dissolvent en leurs éléments d’origines, en prakriti, et par la suite tout le processus évolutif recommence. xv  C’est-à-dire que l’univers s’est formé de cette matière primaire sans vie.

 

 

Dans l’image ci-dessus un être humain vénère un crocodile. Comme par le passé, certaines sociétés aujourd’hui vénèrent des animaux comme les crocodiles, les vaches ou des choses sans vie comme l’eau ou le feu, croyant que ce sont des soi-disant dieux pourvus d’un pouvoir créatif. Il n’y a rien dans cette croyance qui soit compatible avec la raison, la logique ou la conscience. Il est clair qu’un crocodile est une créature faible et inconsciente qui ne peut avoir un pouvoir ou une sagesse. Toutefois, les darwinistes adoptent une croyance semblable. Pour eux, ce n’est pas le crocodile ou le feu qui ont un pouvoir créatif, mais plutôt les atomes inconscients et les coïncidences. Ils adhèrent à cette croyance comme une religion.

Les penseurs païens grecs ont semé les premières graines du darwinisme

Le précurseur des idées darwinistes était présenté par les philosophes grecs milésiens qui n’avaient aucune connaissance sur les lois de la physique, de la chimie ou de la biologie. L’une des affirmations les plus importantes de ces philosophes, parmi lesquels Thalès, Anaximandre et Empédocle, était que les êtres vivants (les animaux, les êtres humains et les plantes) s’étaient générés spontanément des éléments inanimés comme l’air, le feu et l’eau. Cette croyance primitive et païenne vieille de 2000 années a réapparu sous forme de darwinisme au 19ème siècle.

Thalès et l’idole de la chance

Le premier de ces philosophes milésiens fut Thalès. Il vécut dans une cité côtière et passa une longue période en Egypte, où il fut influencé par les anciennes croyances païennes égyptiennes concernant la création de la vie.xvi Il devint obsédé par l’idée erronée selon laquelle les êtres vivants pouvaient se générer de l’eau. Selon cette notion ignorante, d’abord les plantes, puis les animaux et enfin les humains ont émergé de cette eau par le fruit du hasard.xvii Thalès atteignit cette conclusion en utilisant la simple logique et la déduction mais sans aucune expérience ni observation scientifique. Plus tard, d’autres philosophes milésiens ont établi des théories sur la base de la même logique.

 

 

A gauche : Thalès affirmait que les êtres vivants pouvaient se reproduire de l’eau.
A droite : le dieu imaginaire que les égyptiens croyaient protéger le Nil

Anaximandre et le non-sens que les espèces évoluaient à partir d’une autre

Après Thalès, le penseur le plus important fut son élève Anaximandre, qui contribua à deux doctrines matérialistes importantes aux annales de la pensée occidentale. La première est que l’univers aurait toujours existé et continuerait d’exister dans l’éternité. La seconde est une idée qui a commencé à prendre forme au temps de Thalès : que les êtres vivants auraient évolué l’un à partir de l’autre.

Anaximandre a même écrit un poème appelé « Sur la nature », qui est le premier travail littéraire contenant une théorie de l’évolution. Dans ce poème, il écrivit que les créatures provinrent d’une vase qui a été séchée par le soleil. Il prétendit que les premiers animaux étaient recouverts d’écailles hérissées et vivaient dans les mers.xviii Ces créatures ressemblant aux poissons, tout en évoluant, passèrent à la terre ferme, perdirent leur couverture écailleuse et devinrent finalement des êtres humainsxix

Comme nous l’avons vu, cette interprétation se conforme complètement à la théorie de Darwin sur l’évolution, elle-même dépourvue de toute base scientifique. Autrement dit, Darwin n’a pas fait une nouvelle découverte par l’observation. Ce qu’il a fait, c’est de rétablir d’anciennes croyances païennes. Les livres philosophiques décrivent la base qu’Anaximandre a donnée pour la théorie de l’évolution.

Dans son livre, Ernest Abel dit qu’au début, toutes les entités vivaient dans l’eau. Puis, avec la rétraction du mangeur et l’apparition de parties de terre ferme, les entités vivant dans ces eaux changèrent de manière à vivre sur la terre ferme. Cette théorie peut être considérée comme la première théorie de l’évolution dit-il, ou  alors comme son introduction. xx

Nous rencontrons une explication semblable à celle d’Anaximandre dans le livre de Charles Darwin L’origine des espèces. Il n’y a fondamentalement aucune différence entre la théorie de l’évolution qui y est proposée (malgré ses affirmations pseudo-scientifiques) et le récit des philosophes milésiens ayant vécu dans la culture païenne de l’ancienne Grèce.

Héraclès et la tromperie de la sélection naturelle

La thèse que la sélection naturelle est due à une bataille pour la survie entre les espèces a d’abord été mentionnée dans l’ouvrage du philosophe grec Héraclès. D’après sa thèse, il y aurait une bataille constante entre les êtres vivants. En un sens, c’est l’origine de la théorie de Darwin sur la sélection naturelle 2500 ans plus tard.

Empédocle et le mensonge de l’évolution humaine

Empédocle (495-435 av. JC), qui a vécu plus tard que Thalès et Anaximandre, croyait que tout ce qui se trouve sur terre a existé par un mélange aléatoire dans des proportions variées de l’eau, de l’air, du feu et de la terre. L’écrivain David Skjaerlund, qui a enquêté sur les racines philosophiques de la théorie de l’évolution dans son livre Philosophical Origins of Evolution, déclare qu’Empédocle « croyait que le hasard seul était responsable du processus entier et que l’homme s’est développé d’une vie végétale antérieure ».xxi Le concept de hasard dans les anciennes religions forme une croyance de base et est également l’idole la plus importante de la religion du darwinisme.

Démocrite et le matérialisme

 


Démocrite, comme les matérialistes du monde moderne, croyait de façon erronée que la matière est éternelle et que rien n’existe sauf la matière.

Démocrite est un autre philosophe grec qui a contribué à la théorie de l’évolution et à des philosophies matérialistes qui ont pris la théorie comme base. Selon Démocrite, l’univers se compose de petites particules appelées atomes et qu’à part la matière, rien n’existe. Les atomes ont toujours existé –non créés et indestructibles. Ainsi, la matière a toujours existé et continuera d’exister dans l’éternité. Démocrite rejetait toute sorte de foi spirituelle et affirmait que les valeurs spirituelles, même la moralité, peuvent être réduites aux atomes. Donc, Démocrite a été le premier véritable philosophe matérialiste ; pour lui, l’univers n’a aucun but, tout bouge selon une nécessité aveugle, et tout a existé spontanément par soi-même. On se rappelle encore les faux dieux des évolutionnistes modernes – les atomes inconscients.

 

Les atomes inconscients qui composent l’univers – le monde, l’air que nous respirons, ce que nous mangeons et buvons, nos corps – bref, tout ce que nous percevons, sont au centre de la théorie de l’évolution. Il est bien connu que chaque être vivant, y compris les êtres humains, est fait d’atomes de carbone, d’hydrogène, d’oxygène, de calcium, de magnésium, de fer et d’autres éléments. Le darwinisme affirme que ces atomes sont apparus par hasard. Selon cette affirmation insensée, les différents atomes qui ont été formés par une impulsion inconnue se sont assemblés plus tard accidentellement pour former les étoiles, les planètes et tous les corps célestes. Après un certain temps, les atomes se sont encore assemblés par hasard pour former une cellule vivante possédant une structure très complexe. Puis cette cellule vivante a entrepris un prétendu processus d’évolution pour former les êtres vivants pourvus des systèmes extraordinairement élaborés, et enfin, les êtres humains ayant une conscience hautement développée. De plus, l’être humain qui serait complètement le résultat du hasard, avec l’aide d’instruments développés par hasard aussi (comme le microscope électronique) a découvert les atomes desquels il a été formé ! C’est ce qui se fait passer pour une thèse scientifique !

 


 

Les évolutionnistes affirment que les atomes ont existé en conséquence du hasard et ont donné lieu à l’univers tout entier. C’est-à-dire, qu’un groupe d’atomes inconscients forma les étoiles, les planètes et la Terre ; un autre groupe forma les êtres vivants. Puis, un autre groupe d’atomes inconscients forma l’œil, le cœur, le système nerveux, le cerveau et tout le système anatomique parfait d’un être humain. Plus tard, cet humain devint un professeur et commença à examiner les atomes qui l’ont créé. Il est évident qu’une telle affirmation est inconcevable et bien loin des méthodes scientifiques intelligentes. Tout l’univers et chaque être vivant qu’il contient a été parfaitement créé avec le savoir sublime d’Allah.



Ainsi, la théorie de l’évolution accepte pour vérité que chaque atome est un faux dieu pourvu d’un pouvoir créatif. Mais les atomes qui forment un être humain conscient et intelligent sont eux-mêmes inconscients et sans volonté. Néanmoins, les évolutionnistes affirment que ces atomes sans vie se sont assemblés, ont créé un être humain, et plus tard ce fusionnement d’atomes décida d’aller à l’école et d’avoir une carrière. Toutefois, toutes les expériences et les observations ont montré que, sans une organisation consciente, la matière ne peut jamais s’organiser ; au contraire, elle va droit vers le désordre et le chaos. Pour cette raison, il est évident que rien dans l’univers n’est le résultat du hasard mais a été amené à l’existence par un être avec une conscience et une volonté, un savoir et une intelligence. Ce sont les attributs d’Allah, le Seigneur des cieux et de la terre.

Avec les philosophes susmentionnés, un autre contributeur à la religion du darwinisme fut le philosophe grec Aristote. D’après lui, les espèces peuvent être rangées dans une hiérarchie du plus simple au plus complexe et alignées sous une forme linéaire comme les marches d’une échelle ; il appela cette thèse la Scala Naturae. Cette idée d’Aristote influença profondément la pensée occidentale jusqu’au 18ème siècle et devint plus tard l’origine de la croyance dans la grande chaîne de la vie, qui en retour, devint la théorie de l’évolution.
 
Une autre croyance des anciennes cultures païennes : la grande chaîne de la vie

L’idée sous-jacente du darwinisme – que chaque être vivant a évolué de la matière – a d’abord été rencontrée dans la conception de la grande chaîne de la vie par le philosophe grec Aristote. C’est une croyance évolutionniste encore populaire chez les philosophes qui renient l’existence d’Allah.

L’idée originale que le premier être vivant s’est auto-produit spontanément de l’eau au cours du temps devint la doctrine de la grande chaîne de la vie. Selon laScala Naturae qui a été acceptée pendant 2000 ans, les êtres vivants se sont formés par eux-mêmes en évoluant des minéraux à la matière organique, des organismes vivants aux plantes, aux animaux, aux êtres humains et enfin, aux soi-disant « dieux » (Allah est au-delà de cela). D’après cette croyance, les nouveaux organismes se sont formés d’eux-mêmes conformément aux besoins de la nature.

Selon ce raisonnement erroné, les petits êtres vivants devinrent plus grands, étape par étape ; chaque être vivant a sa place dans la chaîne. Il affirme également que les pierres, le métal, l’eau et l’air devinrent des organismes vivants, ces derniers devinrent des animaux, et les animaux à leur tour devinrent des êtres humains sans aucune interruption dans le processus. La raison pour laquelle cette croyance (qui n’a aucune base scientifique, contredit toutes les vérités scientifiques, et repose uniquement sur une logique abstraite) a gagné l’acceptation pendant si longtemps n’est pas scientifique mais plutôt idéologique. Ce qui permet à cette fausse croyance de durer est une approche dogmatique qui renie l’existence d’Allah. Cette croyance a changé de nom périodiquement, a été élaborée, et enfin devint connue sous le nom de « théorie de l’évolution ».



Une image illustrant l’histoire évolutive de la transition supposée de l’eau à la terre ferme.


Selon l’idée de la grande chaîne de la vie, qui remonte à Aristote, les êtres vivants ont évolué des plus petites créatures aux plus grandes. Cependant, la science moderne a montré que cette affirmation n’est pas valide ; que les similarités entre les êtres vivants ne prouvent pas l’évolution ; que les créatures illustrés sur l’image n’ont pas évolué d’autres créatures mais chacune a été créée dans sa forme actuelle.

 

Mais il faut le répéter : le soi-disant arrangement successif ne prend pas en compte la science. Il n’y a pas de considération des caractéristiques physiques des êtres vivants ou de la façon avec laquelle la vie a pu exister des matières sans vie ou comment les créatures marines ont pu s’adapter à la vie sur la terre. Les formes transitionnelles, qui sont supposées représenter les liens du développement entre les espèces, constituent l’une des impasses les plus sérieuses dans la théorie de l’évolution aujourd’hui parce qu’elles ne se trouvent pas dans les archives fossiles. Comment les créatures se sont-elles changées en d’autres, reste un grand mystère parce que la chaîne est simplement le produit d’une logique abstraite superficielle inventée par les anciens philosophes autour d’une table.

La raison pour laquelle cette croyance (qui n’a pas de base scientifique, contredit toutes les vérités scientifiques, et repose uniquement sur une logique abstraite) a gagné l’acceptation pendant si longtemps, n’est pas scientifique mais plutôt idéologique. Ce qui permet à cette fausse croyance de durer est une approche dogmatique qui renie l’existence d’Allah. Cette croyance changea périodiquement de nom, fut élaborée, et enfin devint connue sous le nom de « théorie de l’évolution ».

La période à laquelle la Scala Naturae est arrivée dans la pensée occidentale coïncide avec l’avènement de l’humanisme et de la Renaissance. Au début du 15ème siècle, les ouvrages grecs et latins ont été apportés en Europe et ont pénétré le courant de la pensée et philosophie occidentales. Le plus important dans ces textes était le concept du matérialisme et le reniement de l’existence d’un créateur (Allah est au-delà de cela), et la grande chaîne de la vie formait la base de cette croyance en déclarant que les êtres humains ont existé par hasard suite à un processus évolutif et ne sont essentiellement rien de plus qu’un bloc de matière. Ainsi, les valeurs morales et les sentiments humains n’ont aucune importance ; une personne doit simplement apprécier chaque jour qu’elle vit et ne se sentir responsable envers personne. Avec le temps, le concept d’Aristote de la divinité au sommet de la Scala Naturae a été remplacé par l’idée humaniste de l’homme comme l’être le plus haut (Allah est au-delà de cela). Il n’y a pas de doute que c’est une idée qui a infligé un dommage physique et spirituel terrible sur le monde occidental. Les gens qui se voyaient comme une collection de matière considéraient l’inhumanité, l’égoïsme et la cruauté comme justifiés à leurs propres yeux, et ainsi s’infligeaient à eux-mêmes et aux autres une vie sombre. Les êtres humains ne sont pas le travail d’atomes inconscients et de hasard aveugle. Allah a créé les hommes et l’univers dans lequel ils vivent ainsi que toutes les créatures vivantes, et chacun a une responsabilité envers Lui.

Il y a un parallèle solide entre la théorie de l’évolution, qui représente la base des philosophies matérialistes et athées, et la Scala Naturae et la grande chaîne de la vie qui forment la source vitale des anciennes philosophies matérialistes païennes. Aujourd’hui, le matérialisme tire sa force à travers la théorie de l’évolution, comme par le passé, la pensée matérialiste était basée sur la grande chaîne de la vie.

 


De Buffon et son ouvrage de 44 volumes Histoire naturelle, qui s’inspire de l’ancienne mythologie païenne

La grande chaîne de la vie était bien populaire à partir de la Renaissance jusqu’au 18ème siècle et influença beaucoup les scientifiques matérialistes de cette époque. Les scientifiques français Benoît de Maillet, Pierre de Maupertuis, Comte de Buffon et Jean Baptiste Lamarck, parmi d’autres, qui avaient une forte influence sur Charles Darwin, ont approprié la notion grecque de la grande chaîne de la vie. Ils ont basé leur recherche scientifique sur cette vue évolutionniste. Le dogme commun de ces hommes était que les différentes espèces vivantes n’étaient pas créées individuellement mais avaient existé spontanément par un processus d’évolution dépendant des conditions naturelles, un modèle similaire à celui de Darwin. (Allah est au-delà de cela.) Pour cette raison, on peut dire que la pensée évolutionniste moderne est née en France.

 

L’évolutionniste français Comte de Buffon fut l’un des scientifiques les plus connus du 18ème siècle. Pendant plus de quinze ans, il fut directeur du Jardin Royal des Plantes à Paris. Darwin basa la grande partie de sa théorie sur ses travaux. Dans son ouvrage de 44 volumes Histoire naturelle, il est possible de trouver la plupart des éléments que Darwin allait utiliser.

La grande chaîne de la vie était la base des systèmes évolutionnistes de De Buffon et de Lamarck. L’historien de la science, l’américain D.R. Oldroyd, définit leur relation par ces termes :

Dans son Histoire naturelle, Buffon se révèle comme un défenseur de la doctrine de la grande chaîne de la vie, avec l’homme placé en haut de la chaîne... Lamarck a tenu une version de l’ancienne doctrine de la grande chaîne de la vie. Mais… elle n’était pas conçue comme une structure rigide et immuable. Par leur bataille pour satisfaire les exigences de l’environnement, et avec l’aide du principe de l’héritage des caractéristiques acquises, les organismes pouvaient probablement faire leur route vers le haut de la chaîne –des microbes à l’homme, pour ainsi dire… De plus, de nouvelles créatures apparaissaient constamment au bout de la chaîne, émergeant de matières non organiques par une génération spontanée. L’ascension de la chaîne impliquait un processus continu de complexification, dû à ce qu’on appelle « le pouvoir de la vie ». xxii

Comme on peut le voir clairement, ce qu’on appelle « la théorie de l’évolution » est réellement une transmission aux temps modernes de l’ancienne mythologie grecque de la grande chaîne de la vie. Il y avait des évolutionnistes avant Darwin, et la plupart de leurs idées et soi-disant preuves se trouvaient déjà dans le concept de la grande chaîne de la vie. Avec De Buffon et Lamarck, cette dernière fut offerte au monde scientifique sous une nouvelle forme qui influença Darwin.
En effet, Darwin était influencé par cette idée au point où il a fondé toute sa théorie sur sa logique de base. Dans le livre Darwin’s Century, Loren Eiseley indique que Darwin utilisait le concept du 18ème siècle concernant l’échelle de l’existence dans son livre L’origine des espèces et que l’idée que toute la matière organique penchait inévitablement à « progresser vers la perfection » y trouvait ses origines. xxiii

Donc, Darwin n’a pas proposé une nouvelle théorie. Ce qu’il a fait n’était rien de plus que lui donner une nouvelle expression dans le langage scientifique contemporain. Basée sur quelques observations trompeuses, une religion qui remonte aux mythes païens des Sumériens et des anciens Grecs était soutenue. Elle fut améliorée au 17ème et 18ème siècles avec de nouveaux ajouts par plusieurs scientifiques. Plus tard, à travers le livre de Darwin L’origine des espèces, la théorie obtint un revêtement scientifique pour devenir la plus grande supercherie dans l’histoire de la science.

Les origines superstitieuses du darwinisme

L’une des plus grandes impasses dans la religion du darwinisme est la question de savoir comment les êtres vivants ont existé. Généralement les évolutionnistes préfèrent éviter cette question parce que la réponse la plus concrète qu’ils puissent donner n’est pas différente de celle transmise par les religions des siècles précédents. Durant la période dans laquelle le darwinisme se développa, de fausses croyances sur la formation des êtres vivants prévalaient déjà; on croyait que les mouches venaient de la sueur, les grenouilles de la boue, et les fourmis du sucre.

 


La fausse déesse hindoue de la rivière

L’une de ces croyance insensées est celle du « monstre prometteur » - la théorie la plus étrange dans l’histoire de l’évolution. Parce que les fossiles des formes de transition espérés n’ont pas été trouvés, certains évolutionnistes étaient sous une grande pression. Alors ils ont décidé qu’ils n’avaient pas besoin de formes de transition parce que la transition d’une espèce à une autre s’était produite soudainement.
Par conséquent, ils ont proposé la théorie du monstre souhaité. Selon cette théorie, la formation d’êtres vivants n’est pas différente de l’affirmation que les fourmis viennent du sucre. Le premier oiseau émergea subitement d’un œuf de reptile ; plus tard, et de la même façon, un autre oiseau sortit par hasard d’un œuf. Ces deux oiseaux se sont réunis, et une famille d’oiseaux se forma. Une théorie semblable, proposée par Charles Darwin, est que les ours qui ont passé beaucoup de temps dans l’eau se sont changés en baleines avec le temps. Toutefois, les vérités scientifiques actuelles démontrent clairement combien cette affirmation est non scientifique et trompeuse. (Pour des informations plus détaillées sur ces sujets, voir Le mensonge de l’évolution et La réfutation du darwinisme, par Harun Yahya).

 

Les évolutionnistes modernes croient encore aveuglément qu’un dieu illusoire appelé Mère Nature les a créés, affichant ainsi la même ignorance que les anciens Grecs et Sumériens qui adoraient des dieux imaginaires créés dans leurs propres esprits. Afin de comprendre combien les fausses religions sont ineptes, il est nécessaire de regarder tout ce qui nous entoure dans les plus petits détails ; ils affichent une beauté, un art et une conception sublimes. Les sens perçoivent que cette précision parfaite n’aurait pas pu exister par un simple hasard à travers des soi-disant divinités sans pouvoir ou une chaîne naturelle commençant avec une soupe primitive et un coup d’éclair. L’esprit incrédule est décrit dans le Saint Coran :

Et ils dirent : « Quel que soit le miracle que tu nous apportes pour nous fasciner, nous ne croirons pas en toi.  » (Sourate al-Araf, 132)

Et si nous faisions descendre les Anges vers eux, [comme ils l’avaient proposé] si les morts leur parlaient, et si Nous rassemblions toute chose devant eux, ils ne croiraient que si Allah veut. Mais la plupart d’entre eux ignorent. (Sourate al-Anam, 111)

Et même si Nous ouvrions pour eux une porte du ciel, et qu’ils pussent y monter, ils diraient : « Vraiment nos yeux sont voilés. Mais plutôt, nous sommes des gens ensorcelés. » (Sourate al-Hijr, 14-15)

Comme il est décrit dans ces versets, les gens qui continuent de renier l’existence d’Allah vivent dans une ignorance totale. Ils accepteront toute sorte de fausseté mais restent obstinés quand il s’agit de la vérité. Ils préfèrent ne pas croire aux vérités scientifiques logiques mais plutôt aux illusions que leurs soi-inférieurs ont rendu attirantes pour eux. Croire à l’évolution depuis les premiers temps a été le résultat d’un esprit non-croyant. De plus, cette mentalité existera toujours, car elle fait partie du décret d’Allah.

Nous avons destiné beaucoup de djinns et d’hommes pour l’enfer. Ils ont des cœurs, mais ne comprennent pas. Ils ont des yeux mais ne voient pas. Ils ont des oreilles mais n’entendent pas. Ceux-là sont comme des bestiaux, même plus égarés encore. Tels sont les insouciants. (Sourate al-Araf, 179)

Il y aura bien sûr toujours des personnes avec un esprit renieur. Mais Allah accordera toujours le succès et la victoire aux croyants. C’est Sa loi et Sa promesse, et l’énorme défaite intellectuelle des darwinistes au siècle présent est claire comme de l’eau de roche. Les idées insensées de la religion darwiniste ont été exposées, les gens ont vu la vérité, et nous sommes maintenant à l’étape où la théorie de l’évolution est consignée aux pertes de l’histoire. Les dernières affres de la mort des darwinistes ne changeront pas les faits. Comme le dit notre Seigneur dans le verset 81 de la sourate al-Isra :

La vérité est venue et l’erreur a disparu.


Notes
i Abel, Ernest L., Ancient Views on the Origin of Life, Farleigh: Dickinson University Press, 1973, p. 15
ii Dr. Kenneth Cumming, "The Collapse of the Theory of Evolution, the Fact of Creation," conference speech, 4 avril 1998
iii http://history-world.org/cosmogony_and_cosmology.htm
iv http://dmc.utep.edu/westch/reading/epic.html
v http://www.crystalinks.com/enumaelish.html
vi K Kramer, Samuel Noah, Sumerian Mythology, Harper & Brothers, New York, 1961. pp. 112-113; Sumerian Mythology FAQ 1.9 http://www.ping.de/sites/systemcoder/necro/info/sumerfaq.htm
vii http://www.theforbiddenknowledge.com/genesis/
viii Osman Gürel, Yaşamın Kökeni, Pan Yayıncılık, Octobre 1999, p. 4
ix http://buglady.clc.uc.edu/biology/bio106/earlymod.htm
x http://www.aldokkan.com/religion/creation.htm
xi http://www.theforbiddenknowledge.com/genesis/
xii Osman Gürel, Yaşamın Kökeni, Pan Yayıncılık, Octobre 1999, p. 4
xiii http://buglady.clc.uc.edu/biology/bio106/earlymod.htm
xiv http://www.aldokkan.com/religion/creation.htm
xv http://historylink101.net/egypt_1/religion_creation_myths.htm
xvi A Reasoned Look at Asian Religions, pp. 87-88; World's Religions, p. 108
xvii Ernest L. Abel, Ancient Views on the Origin of Life, Farleigh; Dickinson University Press, 1973, p. 19
xvii Philosophical Origins of Evolution, Décembre 2007, http://www.forerunner.com/forerunner/X0742_Philosophical_origin.html
xviii Philosophical Origins of Evolution, Décembre 2007,  http://www.forerunner.com/forerunner/X0742_Philosophical_origin.html
xiv http://biology.clc.uc.edu/courses/ bio106/earlymod.htm
xx Ernest L. Abel, Ancient Views on the Origin of Life, Farleigh; Dickinson University Press, 1973, pp. 24-25
xxi www.forerunner.com/forerunner/ X0742_Philosophical_origin.html 
xxii Darwinian Impacts, p. 23 et p. 32
xxii Loren Eiseley, Darwin's Century, p. 283

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