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l effondrement scientifique de la theorie de l evolution
24 février 2011

Le héros d'une naissance peu ordinaire : le kangourou

Le système reproducteur des kangourous diffère largement de celui des autres mammifères. En effet, l'embryon kangourou effectue certaines étapes de son développement à l'extérieur de l'utérus, alors qu'habituellement celles-ci sont intra-utérines. 

Peu après la fécondation, l'embryon kangourou, encore aveugle et ne mesurant qu'un centimètre environ, vient au monde. En général, il y a une seule naissance à la fois. A ce stade, il est appelé "prématuré". Alors que tous les mammifères sont à ce stade dans l'utérus de la mère, le petit du kangourou vient au monde quand sa taille est encore minuscule. Son développement est à ce moment loin d'être achevé ; ainsi, l'extrémité de ses pattes antérieures n'est pas définie, et ses pattes postérieures sont de simples moignons.

Il ne fait aucun doute que le nouveau-né ne peut pas quitter sa mère dans cet état. Au sortir de l'utérus, cette véritable larve commence à ramper sur la fourrure du ventre de sa mère à l'aide de ses pattes antérieures (la femelle est alors en position couchée) et atteint la poche maternelle après quelques minutes. Pour le petit kangourou, cette poche aura la même importance que l'utérus pour d'autres animaux. Il y a pourtant une différence importante, à savoir que contrairement aux autres nouveaux-nés, le petit du kangourou sort de l'utérus à l'état encore embryonnaire.

Une fois arrivé dans la poche, le nouveau-né s'accroche à l'un des quatre mamelons, et il commence à sucer.

A ce stade, la mère traverse une autre période d'ovulation, et un nouvel ovule se forme dans l'utérus. Après copulation, ce nouvel ovule sera fécondé.

Mais cette fois, l'ovule fécondé ne se développera pas immédiatement. Si la sécheresse sévit au centre de l'Australie, comme c'est souvent le cas, l'ovule fécondé dans l'utérus demeure au même stade jusqu'à ce que les conditions climatiques aient changé. Si, cependant, de fortes pluies s'abattent et si de riches pâturages réapparaissent, alors le développement de l'ovule fécondé repart. 

A ce point de l'exposé, nous sommes confrontés à la question suivante : qui est-ce qui réalise cette planification, à savoir qui est-ce qui gère le développement de l'ovule fécondé selon l'environnement climatique ? L'ovule est bien sûr incapable de piloter son propre développement, n'étant pas un être vivant conscient et étant ignorant du temps qu'il fait à l'extérieur. La mère ne peut pas non plus gérer cela parce que, à l'instar des autres créatures, elle n'exerce aucun contrôle sur les processus se déroulant dans son corps. Cet événement extraordinaire dépend entièrement d'Allah, Qui a créé à la fois la mère et l'ovule.

Si les conditions climatiques sont favorables, trente-trois jours après la fécondation le prématuré, qui n'est alors pas plus gros qu'un haricot sec, rampe lentement depuis l'ouverture de l'utérus pour atteindre la poche, tout comme l'aîné l'avait fait avant lui.

Entre-temps, ce dernier a considérablement grandi, et il va continuer son développement sans nuire au minuscule nouveau venu. Lorsqu'il parvient à son 190ème jour d'existence, il est alors suffisamment développé pour effectuer son premier séjour en dehors de la poche. Dès lors, il passera la majeure partie de son temps dehors, et il quittera la poche définitivement au 235ème jour après sa naissance.

Peu après la naissance du second petit kangourou, la femelle copule de nouveau. En conséquence, la femelle doit peu après s'occuper de trois petits. Le premier broute déjà mais revient occasionnellement auprès de sa mère pour téter ; le second n'en est encore qu'au stade de la tétée continue pour assurer son développement, alors que le plus jeune n'est qu'une larve.

Ce qui est réellement stupéfiant, c'est que tous trois vont être nourris par la mère à l'aide de trois types de laits différents, chaque lait étant adapté à l'âge du petit.

Ainsi, le lait que boit le prématuré est transparent et sans couleur, tandis qu'il devient de plus en plus blanc pour ses aînés, commençant alors à ressembler à du vrai lait. La quantité de matières grasses et d'autres éléments nutritifs augmente en parallèle avec le développement du nouveau-né.

Le corps de la mère est capable de produire simultanément plusieurs types de lait, comportant chacun des ingrédients différents : un lait hautement nourrissant pour l'aîné, et des laits moins riches en matières grasses pour les plus jeunes. Et à chaque sorte de lait correspond un mamelon particulier. Il est important de noter ici un fait remarquable : chaque bébé kangourou va de lui-même téter au mamelon correspondant au lait lui convenant. S'il n'en était pas ainsi, le nouveau-né absorberait un lait qu'il lui serait impossible de digérer, et cela serait très préjudiciable pour son organisme.

Ce système alimentaire est tout à fait remarquable et il s'agit là sans aucun doute possible d'un produit de la création. En effet, la mère ne peut manifestement pas arranger tout cela consciemment. Comment un animal pourrait-il connaître les ingrédients de lait dont ses petits auront besoin selon leur âge ? Et même si ce savoir lui était accessible, comment pourrait-il les produire dans son propre corps ? Et comment pourrait-il les distribuer par le biais de trois canaux distincts ?

Le kangourou n'est même pas conscient que le lait produit par son corps est de trois types différents. Ce processus merveilleux est incontestablement une preuve que cet animal a bel et bien été créé par Allah. Allah, notre Créateur puissant, a doté cet animal par ces propriétés stupéfiantes.
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